Je suis maintenant maman depuis plus de 16 ans ; j'ai réussis ma vie je me suis marier j'ai un bon métier, je suis heureuse. Du moins j'ai oser croire que je l'étais. Puis un jour j'ai vu l'invisible qui était pourtant là, sous mes yeux, mais tellement affreux que je ne souhaitais le regarder en face. C'ette vision d'horreur je l'ai vue il y a peu de temps.
Un jour, en rangeant des affaire, de mon fils, j'ai trouvé des tâches sur les manches. Cela me parus d'abord anodin ; cela pouvait être de la peinture, une expérience de chimie ou n'importe quoi, mais au file des jours, des semaines et au bout de 4 mois, les tâches revanaient.
Alors, soucieuse, j'observais mon fils plus attentivement et je vis dans son comportement, celle qu'autrefois j'avais été et qui au fond de moi sommeillait. Je vis une silhouette vêtue de noire, des yeux et des cheveux assortis, un style plus fait pour choquer que pour plaire, mais habitée par un esprit joyeux et vivant et non mortel.
Mais contrairement à moi que la lâcheté, la peur de la douleur et de fausses excuses avaient retenues, lui était passé à l'acte ; lui mon fils adoré, seul enfant de mes rêves auquel j'ai pu donner le jour. Il avait su ouvrir cette porte que j'avais laissé vérouillée, cependant pas décidé à la franchir.
C'est ainsi que je fis face à toute l'angoisse que de simples gestes meurtriers m'inspiraient. Je compris de quoi étaient faites les tâches, et alors, avec cette illumination, bien des choses s'expliquaient, me plongeant dans l'horrible peur de perdre ainsi l'un des rares être qui restait cher à mon coeur.
Je devint alors inquiète de ses moindres faits et gestes; surtout de ses gestes, qu'il pourrait regretter en me laissant amer de sa perte.Mais je réagis, bien peut être, j'allais lui parler, ouvrant sa porte sans frapper, et là, là je vis combien les choses étaient graves.
Il leva le nez de son poignet ensanglanté et se mit à sangloter en murmurant:"maman".Je crus mon heure arriver en voyant la sienne trop proche de lui, mon exprérience médicale me dit que la plaie n'était que superficielle alors je le pris dans mes bras et moi même je me mis à pleurer sur son sort, sur le mien, sur le notre.
Avais-je-été une si mauvaise mère pour qu'il me punisse ainsi?Mais il m'expliqua qu'il ne trouvait ni de place dans la société ni dans le coeur des autres et voyait que son rêve n'était que fumée sans l'ombre d'un feux. Je fermais les yeux et lui répondis: "Peu importe ta place, l'affection que les autres te porte, tu saurais trouvé où tu te sans le mieux et où l'on t'aimera; cela viendra. Quand à ton rêve, toi seul peut décider de l'importance que tu lui accorde et de le réaliser mais sache que tu peux le faire."
Il pleura encore et j'allais bander son poignet, mais je le sentais rassurer et prêt à repartir comme il le fallait pour que comme moi il fonde son bonheur.
Le soulagement m'envahie en même temps que le sommeil dûs aux médicament que j'avais ingurgiter.Si seulement mes parent étaient aussi prévenants que j'aurais souhaité l'être, peut être n'aurais-je jamais ouvert une boîte de somnifères afin de réaliser mon vie dans un endroit peut être meilleur, s'il existe. Mais cela ne sont que des regrets ; mais c'est heureuse que je m'endors, au moins j'avais trouver l'amour et la force de sauver mon fils,même immaginaire, mourir en héroïne n'est ce pas un doux rêve?