Le Château Ambulant est, pour moi, l'un des meilleurs films de Hayao Miyazaki, pour ainsi dire un chef d'oeuvre!!!

L'histoire commence lors d'un fête où notre héroïne Sophie ne se rend pas, elle décide de finir son ouvrage, un chapeau fait main. Néanmoins, elle va voir sa soeur qui travaille dans ce que l'on pourrait appeler une pâtisserie, si l'on cherche un équivalent. En retournant à sa boutique de chapeaux, elle se fait apostropher par deux soldats, revenus de la guerre, et on sait tous ce qu'il se passe ou plutôt ce qu'il ne se passe pas et qui manque cruellement à la gente masculine, lors des guerres; en bref elle essaie de les esquiver mais sans arriver à passer. C'est alors qu'arrive le beau Hauru (niaaaaa ><) qui "l'enlève" et la sauve. plus tard dans la soirée, elle fait la fâcheuse connaissance de la Sorcière des Landes, qui la vieillit d'au moins une cinquantaine d'années. Alors notre vieille Sophie part à la recherche de...euh...euh...je sais plus trop quoi qui la fera redevenir comme avant (désolée, ça fait longtemps que je l'ai vu et la pleurnicheuse n'a pas bonne mémoire :p!!!). Durant une averse, elle croise la route d'un navet (regardez le film pour comprendre), qui la conduit au château ambulant, château de Hauru le sorcier. Elle fait la connaissance de Marko, secraitaire de 10 ans de Hauru et de Calcifer, foyer du château mobile.

C'est ainsi que commence une succession de couleurs sublimes et de morales......

Ce jour restera gravé dans les annales....niaaaaaa...je vous jure je trouve les collant et le tambour et je me ramène fringuée comme ça!!!

C'était trop génial, début d'une longue série de photos!!!

Je voudrais dire à tous ceux qui m'écoutent,

Ils sont autour de moi tellement si peu,

Je voudrais dire à tous ceux qui me tentent,

Ils sont autour de moi tellement nombreux:

Que l'éphémérité de l'existence

A dans sa courceur de la permance,

Que l'on se retrouve couché sous les ponts

Pour avoir cru une quelconque illusion.

Mais on fait vite face à la réalité

En espérant n'avoir pas trop joué.

Je vous le dis, c'est une vérité,

Si dans ce monde, reste du merveilleux,

Souffrez qu'il ne soit déjà réservé

par quelqu'un de plus riche et apprécié;

Nos chemins sont tout simplement affreux.

Peu importe que vous m'ayez entendus,

Ils n'est qu'une certitude, nous sommes perdus.

Souvent consoler en pleurant

Car pleurer est à la portée

De n'importe quel ignorant,

Petites gouttes de liquides versées,

Sur un amant, un disparu,

Une personne d'or et de diamants,

Rencontrée, un jour, dans une rue

On fait face à nos tourments,

On retourne la terre du passé

L'irriguant avec habileté

Mais on se retrouve emporté,

Par ce flots ainsi formé;

Que nul ne saura contrôler,

l'utopie est de le stopper.

Pleurez donc et laissez couler

Ces si petites étoiles salées.