Petit poème d'une fleur fânée,
Qui, un jour obtint les plus belles beautés,
Et qui le lendemain se retrouve nue,
De tous ses pétales, il n'es reste plus,
Malgré cette perte elle s'évertua,
Et au prochain printemps elle renaîtra,
Encore plus sublime que ses semblables,
Telle l'héroïne de certaines fables,
Toujours elle renaît inlassablement,
Et nous, qu'est ce qui nous tient lieu de printemps?